26/03/2019
face à l'information...
" Et si c'était un mensonge ? "
00:51 Publié dans démocratie, propagande | Lien permanent | Commentaires (0)
23/03/2019
Le Président de la République est-il démocratiquement élu ?
"Qui a vraiment défiguré Marianne ?"
Non.
La notion de « démocratie représentative » est une tromperie. Emmanuel Macron a conquis le pouvoir en 2017 avec les suffrages de seulement 18,2 % des inscrits au premier tour de l’élection présidentielle (29). Au second tour, seulement 18 % de ses électeurs ont voté pour lui par adhésion à son projet, soit moins de 8 % des inscrits (30). Quant à ses troupes, elles ont obtenu la majorité des sièges à l’Assemblée nationale grâce aux voix de seulement 13 % des inscrits au premier tour des élections législatives (31). Le pouvoir dont disposent ces gens ne repose sur aucune légitimité démocratique.
La démocratie, c’est le pouvoir du peuple, par le peuple, pour le peuple. Donc, dans une démocratie, quand les gens votent, c’est pour choisir la loi, pas pour choisir qui va les représenter. Quand on vote pour choisir ses représentants, le régime est représentatif.
Et qu’on ne fasse pas le coup de comparaison avec les dictatures, car il s’agit d’une caricature. Le régime représentatif, ce n’est ni la démocratie, ni la dictature, c’est le régime représentatif, point.
Source l'huile dans les rouages
(29) Résultats du premier tour de l’élection présidentielle de 2017 : https://www.interieur.gouv.fr/Archives/Archives-elections...
(30) « Présidentielle 2017 – Second tour, décrypter le vote des Français », sur BVA : https://www.bva-group.com/sondages/presidentielle-2017-2n...
(31) Résultats du premier tour des élections législatives de 2017 : https://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Leg...l
00:48 Publié dans démocratie, manipulation, oppression | Lien permanent | Commentaires (0)
17/03/2019
au fil des pages...
Il n’est personne au monde aujourd’hui qui ne sache à quoi s’en tenir. Et que nous faisons tout ce que nous ne devons pas faire, que nous acceptons tous ce que nous savons ne pas pouvoir, ne pas vouloir accepter, que nous nous laissons tous entraîner en mettant tout sur le compte de la fatalité historique, aussi bien d’un côté que de l’autre… du mur de l’argent.
Louis Guilloux Carnets 5 août 1969
00:56 Publié dans culture, démocratie | Lien permanent | Commentaires (1)