24/10/2013
le capitalisme / Michael Parenti 2004
L’essence de capitalisme est de transformer la nature en marchandises et ces marchandises en capital. La terre verte & vivante est ainsi transformée en lingots d’or morts, avec produits de luxe pour une minorité et tas de scorie toxiques pour le plus grand nombre. L’hôtel particulier scintillant domine de vastes extensions urbaines de bidonvilles, où une humanité désespérée, démoralisée est maintenue aux ordres par les drogues, la télévision et les forces armées.
Michael Parenti Against Empire 2004
[L’horreur impériale. Les État-Unis et l’hégémonie mondiale, Éditions Aden, Bruxelles]
01:38 Publié dans libéralisme, mondialisation, oppression | Lien permanent | Commentaires (0)
Les commentaires sont fermés.